Fier partenaire de cette initiative, le gouvernement a remis trois bourses d’une valeur totale de 3 000 $ aux récipiendaires.
Voici les gagnants et gagnantes de l’édition 2022 :
Justine Lalande – Université du Québec à Montréal (1er prix de 1 500 $)
Projet de recherche sur l’usage de la notion d’utilité sociale dans le discours des joueurs clés engagés dans les projets d’exploitation minière, en vue d’en favoriser l’acceptabilité sociale, une condition devenue incontournable pour leurs réalisations.
Hugo Azin – École de technologie supérieure (2e prix de 1 000 $)
Projet de recherche sur la conception d’un système de stockage d'énergie à hydrogène longue durée et résistant aux conditions climatiques extrêmes pour une mine située dans une région isolée du réseau électrique.
Violaine Gascuel – Institut national de la recherche scientifique (3e prix de 500 $)
Projet de recherche ayant pour but d’évaluer la possibilité d’exploiter la chaleur provenant d’anciens puits d’hydrocarbures comme source d’énergie propre et à faibles émissions de carbone.
Un concours riche en idées pour l’avenir
Le concours de vulgarisation scientifique a obtenu un excellent taux de participation. Sur les 47 inscriptions reçues, 10 finalistes ont été retenus pour leurs projets d’une grande qualité.
Pour y prendre part, les universitaires devaient soumettre des idées de recherche liées à la transition énergétique. Les sujets abordés étaient variés : biomasse, stockage d’énergie, gestion de l’électricité, bâtiment écoperformant, valorisation des rejets thermiques, accès aux ressources énergétiques, modélisation et amélioration de l’efficacité des énergies renouvelables.
En s’associant avec l’AQPER dans ce concours, le gouvernement souhaite sensibiliser la population et les décideurs à l’importance de la transition énergétique tout en assurant une meilleure concertation et mobilisation des milieux universitaires et de la recherche. Les projets soumis dans le cadre de ce concours contribuent à protéger l’environnement, à améliorer la compétitivité et la productivité énergétique des entreprises et à s’assurer de veiller à la santé et à la qualité de vie des citoyens et citoyennes.
Force est de constater que la transition énergétique fait de plus en plus partie des réflexions et des projets menés dans le milieu universitaire. Plus que jamais, l’appel du Plan directeur en transition, innovation et efficacité énergétiques du Québec 
à conjuguer nos forces pour un avenir énergétique durable prend tout son sens.
