Résumé des projets du programme de soutien aux municipalités en prévention de la criminalité 2022-2023

Bas-Saint-Laurent

MRC de la Matanie : 37 500 $
Le projet de la MRC de La Matanie vise à bonifier le projet Repairs de la Maison des jeunes de Matane. Cette dernière était financée dans le cadre des deux PSM précédents pour offrir des activités après l’école aux adolescents. La Maison des jeunes de Matane est enracinée dans sa communauté depuis 43 ans et porte depuis six ans maintenant le service en travail de rue, en plus du projet Repairs.

MRC de la Matapédia : 75 000 $
Le projet consiste à assurer la couverture du territoire par deux travailleurs de rue pour prévenir les actions à caractère délinquant et criminel dans la MRC de La Matapédia. Il s’inscrit parfaitement dans la poursuite des priorités déterminées par le comité de sécurité publique de la MRC, et plus précisément en ce qui concerne les priorités liées à la lutte aux stupéfiants et à la participation concrète aux activités de prévention envers les aînés et les jeunes de la MRC.

MRC du Témiscouata : 75 000 $
Le projet de la MRC du Témiscouata vise à bonifier le service de travail de rue par le développement d’une approche adaptée au contexte rural en matière de prévention des comportements à risque et des gestes criminels en lien avec les stupéfiants chez les clientèles jeunes et vulnérables. Il s’agit d’une priorité régionale nommée par le Comité de sécurité publique et de plus en plus observée sur le terrain. L’objectif est de former des ressources, de les appuyer dans la création de méthodes et d’outils novateurs d’intervention en milieu naturel, en plus de prévenir les méfaits en lien avec la drogue.

Ville de Saint-Antonin : 37 500 $
La Ville de Saint-Antonin bonifiera deux mesures associées à leur programme de soutien communautaire jeunesse dans le but d’améliorer les services de proximité associés aux jeunes. Pour ce faire, le Local des jeunes de Saint-Antonin (MDJ) et Services Jeunesse La Relève proposeront des occasions d’aménager les temps libres après l’école afin de contrecarrer l’émergence de certaines problématiques et de soutenir davantage les familles. Ces moments permettront d’agir sur les facteurs de protection contre la délinquance et favoriseront l’acquisition d’aptitudes prosociales.

MRC de Rivière-du-Loup : 75 000 $
Les travailleurs de rue rencontrent des personnes âgées de 12 à 35 ans sur l’ensemble du territoire de la MRC de Rivière-du-Loup. Il s’agit d’un service d’aide psychosociale confidentiel et accessible à tous. Il vise à joindre les personnes vulnérables et à risque d’adopter des comportements antisociaux et/ou délinquants de manière à agir de façon préventive ou en réduction des méfaits. Le financement obtenu permettra de bonifier le service offert et d’assurer la présence d’un deuxième travailleur de rue sur le territoire.

Capitale-Nationale

Ville de Sainte-Brigitte-de-Laval : 50 000 $
Le projet consiste en la mise en place d’un mécanisme officiel de concertation jeunesse sur le territoire qui aura pour but de doter la ville de Sainte-Brigitte-de-Laval de ressources qui permettront de faire respecter la réglementation harmonisée sur la sécurité publique et la protection des personnes et des propriétés. Le ciblage particulier des 11-24 ans permettra d’accroître le sentiment de sécurité des citoyens et citoyennes, en plus d’augmenter le sentiment d’appartenance des jeunes et des citoyens à leur milieu de vie, en favorisant la tenue d’activités variées.

Ville de L’ancienne-Lorette : 25 000 $
Le projet de la Ville de L’Ancienne-Lorette vise à produire un diagnostic local de sécurité pour cibler les problèmes et les personnes qui y sont vulnérables ainsi que pour réaliser un plan d'action conséquent avec l'ensemble des partenaires. Pour ce faire, une table de concertation avec les parties prenantes sera mise sur pied dans le but de déterminer des solutions à intégrer à un plan d’action ciblant les problèmes mentionnés dans le diagnostic.                             

MRC de Portneuf : 75 000 $
Les intervenants régionaux ont dénoté plusieurs problèmes en lien avec la clientèle jeunesse sur le territoire de la région de Portneuf, comme le manque de tolérance envers les adolescents dans les endroits publics, la recrudescence de regroupements dans les lieux isolés et non sécuritaires, la polyconsommation et les comportements à risque qui en découlent et la hausse du nombre de méfaits publics. Le projet régional de travailleurs de milieu est une solution concrète qui permettra à l'ensemble du territoire d'offrir un service de prévention, d'accompagnement et de résolution de problèmes aux jeunes du territoire.

Centre-du-Québec

Municipalité de Notre-Dame-de-Ham : 37 500 $
Plusieurs problématiques ont été soulevées lors de la réalisation de la Politique de sécurité et de bien-être de Notre-Dame-de-Ham. On parle de méfaits réalisés par les jeunes, de l’augmentation du nombre de personnes aux prises avec des travaux compensatoires et de différents problèmes liés à la sécurité routière. Depuis la mise en place de cette politique, plusieurs actions réalisées pour les jeunes ont eu de belles répercussions. La ville souhaite maintenir ses efforts en ce sens, mais cibler aussi les adultes puisque les actions réalisées jusqu’ici aident à prévenir la criminalité. Le projet consiste à poursuivre la réalisation des actions de la politique actuelle et à mettre cette dernière à jour au cours de la prochaine année.

Chaudière-Appalaches

MRC Robert-Cliche : 75 000 $
Les besoins des adolescents de la MRC sont grandissants, tout comme les enjeux de sécurité publique liés à la réalisation de méfaits et à la consommation. En collaboration avec la Maison des jeunes, les services offerts sur le territoire seront bonifiés par la réalisation d’un programme d’animation après école et le déploiement d’un service de travail de milieu. Ce projet permettra de briser l’isolement des adolescents et de favoriser leur accès aux services. Il leur permettra également de créer des liens significatifs avec des intervenants, de renforcer les facteurs de protection de la délinquance et de diminuer les comportements à risque.

Estrie

Ville de Cowansville : 55 000 $
Le projet vise à augmenter les efforts en lien avec la prévention de la criminalité, notamment par la pérennisation du service en travail de rue. Le déploiement de travailleurs de rue permettra ainsi la réduction des méfaits, la prévention de la criminalité et, par conséquent, améliorera le sentiment de sécurité des citoyens et citoyennes.

Ville de Val-des-Sources : 75 000 $
Avec la collaboration des organismes du milieu, la Ville de Val-des-Sources offrira des services de proximité aux jeunes de 10 à 22 ans par la présence d’un travailleur de milieu jeunesse autour de l’école secondaire et un programme d’activités après l’école. Elle souhaite contribuer de façon proactive et complémentaire au soutien des jeunes qui, par des comportements à risque, compromettent leur sécurité, et parfois celle de leurs pairs. Le but est de mettre en place les mesures nécessaires avec les jeunes et la collectivité. L’expérience des ressources en proximité sur le terrain est un élément clé pour cibler et définir les situations problématiques dans notre milieu et agir.

Ville de Granby : 45 000 $
Le projet vise à offrir des animations après l'école pour les jeunes de 5 à 17 ans comme l’aide aux devoirs, le club de lecture, les animations musicales, le jardinage et les sorties culturelles. Ce projet mise sur une prise en charge et une responsabilisation des jeunes pour la réalisation d'actions POUR et PAR eux. Le but est de mettre les jeunes au cœur de la démarche et d’exploiter leurs forces et leurs compétences pour leur faire vivre des réussites dans leur communauté et, par conséquent, leur permettre de développer un sentiment d'appartenance à celle-ci.

Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine

Ville de Gaspé : 75 000 $
La Ville de Gaspé veut bonifier les activités après école à la Maison de quartier pour les jeunes de 6 à 12 ans afin de réduire le risque qu’ils s’engagent dans des activités délinquantes. Depuis 2017, la ville bonifie son offre d’activités liées à l’acquisition d’aptitudes prosociales, assure la mise en place d’activités complémentaires aux activités parascolaires et municipales et favorise les collaborations avec les organismes communautaires. Ses actions découlent de la Politique municipale pour les familles et les personnes aînées 2021-2026.

MRC de la Côte-de-Gaspé : 10 000 $
Le projet vise à bonifier le service de travail de rue sur l'ensemble du territoire de la MRC de La Côte-de-Gaspé en offrant aux adolescents et aux jeunes adultes de ces secteurs les services d’un travailleur de rue. Ce dernier exercera une présence régulière et continue dans quatre des cinq municipalités et servira de repère pour lutter contre l’exclusion sociale et la marginalisation, vecteurs de risques de criminalité. En raison de son isolement, la municipalité de Murdochville sera plus investie par les travailleurs de rue.

Lanaudière

Ville de Saint-Gabriel : 37 600 $
Par l’intermédiaire de l’organisme Travail de rue de Brandon, la Ville de Saint-Gabriel veut joindre les personnes qui ne vont pas vers les services existants, notamment les victimes de violence et de violence conjugale ainsi que les personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale et de consommation de médicaments. Elle souhaite les accompagner, les soutenir et les diriger vers des ressources spécialisées. En plus d’offrir un service de travail de milieu, la Ville veut également élargir ses connaissances en prévention de la consommation de drogues dures et répondre aux besoins des Gabriélois et Gabriéloises.

Laurentides

Ville de Mirabel : 75 000 $
La Ville de Mirabel souhaite maintenir la présence des travailleuses sociales au sein de son corps de police pour la clientèle qui nécessite des interventions d'ordre psychosocial plutôt que d’ordre policier. Leur rôle consiste à jongler entre des suivis post-crise, la formation, la prévention, la médiation et la concertation avec les différents partenaires du milieu. Leur présence permet de travailler en amont des différentes difficultés que vivent les citoyens et facilite les interventions en évitant que les situations ne s'aggravent.

Ville de Boisbriand : 75 000 $
La Régie intermunicipale de police de Thérèse-De Blainville dessert quatre municipalités, qui se sont chacune dotées d’un plan d’action en matière de sécurité et de mieux-être. Ces plans d’action leur permettent de travailler en collaboration pour trouver des solutions durables aux problèmes récurrents visant les personnes plus vulnérables sur leur territoire. Le PSM financera une ressource spécialisée en santé mentale et en violence conjugale pour faciliter la prise en charge de ces personnes par les services appropriés.  

Ville de Saint-Colomban : 75 000 $
Une agente de relations humaines offre un service psychosocial temporaire pour les personnes qui en ressentent le besoin, qu’elles soient ou non en attente d’une prise en charge dans le réseau de la santé. L’objectif est d’orienter les citoyens et les employés vers les différents organismes appropriés en fonction de leurs besoins. Elle travaille en étroite collaboration avec des partenaires comme le Centre intégré de santé et de services sociaux des Laurentides, le Service de police de Mirabel et le Service de sécurité incendie de Saint-Colomban. Elle s’implique auprès des comités régionaux en lien avec les enjeux psychosociaux actuels, conçoit des ateliers de prévention pour la population et offre des formations pour les employés municipaux.

Ville de Blainville : 75 000 $
Le projet va permettre de bonifier et de consolider le poste de travailleuse sociale du Service de police de Blainville en permettant de mettre en place différents projets comme un programme de prévention dans les écoles en lien avec la santé mentale, en collaboration avec les policières et policiers communautaires ainsi qu’un programme d’aide aux policiers à la suite d’événements traumatiques. L’objectif est d’accroître les connaissances sur la santé mentale et l’encadrement offert autant à la population qu’aux policières et policiers.

MRC D’Argenteuil : 50 000 $
Le projet vise à assurer la poursuite des travaux prévus au plan de prévention de la criminalité en maintenant en poste l'agente de développement pour coordonner, susciter, soutenir et évaluer des actions ciblées par la communauté. Pour renforcer les actions et les initiatives d’intervention auprès des jeunes, la communauté souhaite aussi se doter d'un intervenant de milieu jeunesse qui ira à la rencontre des jeunes sur l'ensemble du territoire. Sous la coordination d'une maison des jeunes, il sera en poste en soirée, du printemps à l'automne, à raison d'une vingtaine d'heures par semaine. D’autres actions viseront la prévention de la violence conjugale et familiale ainsi que la maltraitance envers les aînés et la sécurité des milieux.

Ville de Sainte-Marthe-sur-le-Lac : 25 000 $
La Ville de Sainte-Marthe-sur-le-Lac retient les services d’un chargé de projet responsable de piloter les travaux permettant d’établir un diagnostic de sécurité ainsi que l’élaboration d’un plan d’action pour prévenir les différentes formes de criminalité présentes dans la communauté. Un comité dont les membres proviendront de l’organisation municipale, de la régie de police, de l’école secondaire et de certains organismes communautaires sera mis sur pied pour réaliser ce mandat.

Montérégie

Ville de Saint-Pie : 37 600 $
Les rencontres entre différents intervenants en sécurité publique de la Ville de Saint-Pie ont permis de déterminer les différents problèmes liés aux jeunes. Un comité jeunesse sera créé pour favoriser les liens avec les instances municipales et communautaires. La ville mettra également à jour sa Politique Municipalités amies des aînés (MADA) et sa politique familiale. Des activités seront ajoutées à l'offre de services pour sensibiliser et outiller les aînés aux risques de fraude et de violence financière.

Ville de Varennes : 75 000 $
La Ville de Varennes souhaite assurer un milieu de vie sécuritaire à sa population. Pour ce faire, elle compte sur l’expertise de plusieurs organismes communautaires pour améliorer les services de prévention et de protection pour contrer la criminalité. Depuis 2019, elle travaille en étroite collaboration avec la Maison des jeunes de Varennes en bonifiant le service de travailleurs de milieu. Ainsi, les travailleurs de milieu seront dorénavant sur le terrain à l’année. Cette contribution permettra de solidifier des liens avec des intervenants du milieu, dont les policiers sociocommunautaires de la Régie intermunicipale de police Richelieu–Saint-Laurent.

Ville de Saint-Hyacinthe : 17 200 $
Le projet consiste à continuer d’assurer la présence d'un intervenant jeunesse sur les sites du Skate Plaza et les environs lors des « périodes sensibles » où la criminalité est susceptible de se développer. L'intervenant sera présent régulièrement et à divers moments critiques pour agir promptement face au développement des divers problèmes de sécurité. Il aura aussi à créer des liens avec les jeunes pour les responsabiliser relativement à l'utilisation des lieux.

MRC des Maskoutains : 75 000 $
Le projet consiste à maintenir les services d’une intervenante de milieu aîné auprès de la population vulnérable de la MRC des Maskoutains nécessitant de l’aide pour accéder aux services offerts sur le territoire. L’intervenante offre une présence significative et un soutien aux aînés vivant de l’isolement et de la pauvreté. Elle rencontre divers organismes desservant les personnes âgées de la région, maintient les courroies de référence privilégiées et mieux adaptées pour les accompagner dans leurs démarches, solidifie leur filet social et les sensibilise et les soutient face aux effets de la maltraitance financière et psychologique.

Ville de Belœil : 45 000 $
Le projet de la Ville de Belœil consiste à accroître le temps de présence des travailleurs de rue de l’organisme Mille et une rues sur le territoire. La Ville de Belœil est la deuxième couronne de Montréal, et une bonne partie des interventions de Mille et une rues se déroule sur le territoire de la ville de Belœil. Les travailleurs de rue interviennent relativement à différentes problématiques en sensibilisant les jeunes et en renforçant les facteurs de protection des personnes rencontrées.

Ville de Beauharnois : 60 000 $
Les Villes de Beauharnois et de Salaberry-de-Valleyfield travailleront de concert avec leurs maisons des jeunes, l’organisme Pacte de rue ainsi que d’autres organismes du milieu afin de développer une programmation d'activités de loisirs après école pour soutenir et encadrer les jeunes. Une augmentation des heures de travail de rue de l'organisme Pacte de rue viendra bonifier le travail réalisé par les maisons des jeunes. Également, un comité de suivi permettra au projet de s'ajuster aux différentes difficultés vécues par les jeunes.

Ville de Sainte-Catherine : 68 500 $
Le projet consiste à outiller les différents milieux que fréquentent les personnes aînées de la ville de Sainte-Catherine pour cibler celles qui vivent de l’isolement ou de la vulnérabilité et les diriger vers les bonnes ressources. Les objectifs sont de continuer à déployer le travail de milieu dans les villes de Sainte-Catherine et de Candiac ainsi que d’outiller les jeunes et leurs parents pour qu’ils connaissent mieux le vapotage de cannabis (« waxpen ») et ses effets sur la santé et la réussite scolaire. À cela s’ajoutent des repas santé destinés aux enfants défavorisés pour les aider à mieux réussir à l’école et la référence de familles vers des ressources d’aide selon leurs besoins.

Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu : 75 000 $
La Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu souhaite que les personnes vulnérables de tous âges qui se trouvent en situation d'itinérance aient accès à un service de travail de rue dans les secteurs ciblés. La Ville mandatera notamment l’organisme Passe-moi la puck, qui a vu le jour en juin 2022 à la suite d’une concertation historique du milieu. Cet organisme a pour mission d'accompagner les personnes et la communauté pour leur mieux-être au quotidien. Ce soutien financier vise l'embauche d'un travailleur de rue qui assurera une présence pour la prochaine année et contribuera à mettre en place des actions concrètes pour accompagner cette clientèle, en plus d'améliorer le sentiment de sécurité de la population en général.

Montréal

Ville de Dorval : 37 500 $
L’occupation de l’espace public par les étudiants et la communauté autochtone engendre des interventions de différents intervenants. Le travail de rue effectué par Action Jeunesse de l’Ouest‑de-l’Île répond à de réels besoins dans la communauté pour le soutien et les services psychosociaux. Une attention particulière est portée à la population inuite de la ville.

Outaouais

Ville de Gracefield : 24 000 $
Depuis plusieurs années, la ville de Gracefield est aux prises avec des problèmes de vandalisme et de vols dans les lieux publics et les infrastructures municipales. Conjointement avec les organismes de la communauté, la Ville souhaite mettre en relation les différentes données et les constats liés aux problèmes de sécurité sur le territoire afin de réaliser un diagnostic local de sécurité ainsi qu’un plan d’action.

Saguenay – Lac-Saint-Jean

Municipalité de Saint-Prime : 37 600 $
La Maison des jeunes est un milieu de vie important dans la municipalité de Saint-Prime. C’est le principal endroit où les adolescents peuvent se rencontrer. Le projet des apprentis a été créé spécialement pour les jeunes de 9 à 11 ans qui sont laissés à eux-mêmes depuis la pandémie. Avec le déconfinement, on note une augmentation du vandalisme et de petits délits causés par un sentiment de liberté et d’euphorie post-confinement. En augmentant les heures d’ouverture de la Maison des jeunes, ces derniers auront un milieu animé où ils viendront participer aux activités.

Saint-Félix-D’otis : 37 500 $
Le présent projet vise la poursuite des actions envers les aînés et une bonification pour joindre également la clientèle jeunesse, principalement avec des activités intergénérationnelles qui permettront de contrer l'isolement et de développer le sentiment d'appartenance au milieu. Les actions y sont répertoriées en trois axes : sensibiliser, mobiliser ainsi que prévenir. Ce projet vise à augmenter le sentiment de sécurité général chez l'ensemble de la population.