QUÉBEC, le 9 mars 2024 /CNW/ - Un budget pour produire, construire et convertir
« La CAQ déposera mardi prochain un sixième budget depuis son arrivée au pouvoir. Le résultat de ces années de gestion déficiente caquiste sera un budget largement déficitaire qui reportera aux calendes grecques le retour à l'équilibre budgétaire. Un budget qui sera le fruit de 5 années de mauvaise planification et de mauvaise gestion.
Depuis 5 ans, déficit après déficit, la CAQ dépense, mais n'obtient pas de résultats. Non seulement les Québécoises et les Québécois n'ont aujourd'hui pas les services auxquels ils ont droit, mais le Québec se retrouve sans aucune marge de manœuvre financière.
Pour remettre notre économie sur les rails, le Parti libéral du Québec propose trois mesures impératives :
- Une révision des programmes d'aide aux PME afin de mieux les aider à augmenter leur productivité et leur permettre de s'engager vers la numérisation et la modernisation de leurs entreprises;
- L'abolition de la TVQ sur les matériaux de construction ainsi que des incitatifs aux municipalités afin de réduire le fardeau administratif des entrepreneurs pour relancer la construction résidentielle qui a atteint un creux historique sous la CAQ;
- La conversion de 15 000 places en services de garde éducatifs à l'enfance non subventionnées en places subventionnées dans la prochaine année pour permettre notamment à des milliers de parents de retourner sur le marché du travail.
Des surplus de 7G$ dilapidés, une distribution de chèques mal ciblée, des coupes dans le Fonds des générations, un Panier bleu percé, le cafouillage des Espaces bleus et des millions offerts aux Kings de Los Angeles ne sont que quelques exemples, parmi tant d'autres, qui expliquent l'échec de la CAQ. Malheureusement, l'incapacité chronique de la CAQ à bien gérer les finances publiques plombe le Québec.
Le Parti libéral du Québec, le seul véritable parti de l'économie, aura ce mauvais gouvernement à l'œil, la semaine prochaine et jusqu'à la fin de son mandat. »
- Frédéric Beauchemin, porte-parole de l'opposition officielle en matière de finances.
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