Le Québec, chef de file en matière de diplomatie scientifique
« La diplomatie scientifique vise à se servir de la coopération scientifique pour améliorer la coopération entre les pays, à éclairer les dossiers de politiques étrangères à l’aide de l’expertise scientifique et à promouvoir la coopération scientifique entre pays. »
– Définition de la diplomatie scientifique, proposée par la Société royale de Londres et l’American Association for Advancement of Science en 2010, dans le rapport New Frontiers in Sciences Diplomacy.
L'accessibilité des connaissances scientifiques en français constitue un enjeu majeur pour l'espace francophone, et le Québec se positionne comme chef de file en la matière.
Le Congrès de la « Science en français au Québec et dans le monde », initiative du scientifique en chef du Québec qui s'est déroulée les 26 et 27 avril 2023 à Montréal, ainsi que l’école d’été sur la diplomatie scientifique en français du Cérium de l’Université de Montréal, proposé en juin 2023, sont des exemples du dynamisme du Québec en la matière.
La coopération universitaire et scientifique franco-québécoise
Les liens établis entre établissements d’enseignement supérieur et de recherche franco-québécois sont vecteurs d’innovation et contribuent à répondre aux défis auxquels nos sociétés font face. Cette coopération, l’un des socles historiques de la relation directe et privilégiée entre la France et le Québec, contribue à répondre à des enjeux communs aux deux territoires en matière d’énergie renouvelable, d’environnement, de santé, de nouvelles technologies, etc.
Les équipes de la Délégation générale du Québec à Paris accompagnent les institutions québécoises dans le développement de leurs collaborations universitaires et scientifiques.
La CPCFQ appuie la coopération scientifique franco-québécoise par les programmes Samuel de Champlain et Frontenac, ainsi que par le Fonds Émerillon.