QUÉBEC, le 25 mars 2024 /CNW/ - Estimant que le Projet de loi no 51 est insuffisant pour régler la crise du logement, la pénurie de main-d'œuvre et la hausse généralisée des coûts, la porte-parole en matière de travail, Madwa-Nika Cadet, propose d'y inclure une mesure afin de permettre une plus grande mobilité des travailleurs de l'industrie de la construction.

Concrètement, la députée libérale de Bourassa-Sauvé propose d'offrir une mobilité totale aux entreprises de moins de 25 salariés. Cette mesure permettrait ainsi à nos PME familiales et régionales de croître et de se développer. Par exemple, une PME familiale de l'Estrie qui souhaiterait envoyer un travailleur en Montérégie le temps d'une journée en aurait la possibilité, ce qui n'est pas permis actuellement.  

« Nous sommes d'accord pour dire que l'industrie de la construction a grandement besoin d'une réforme majeure. Malheureusement, le PL 51 est nettement insuffisant et nous devrons le bonifier afin d'en arriver à des résultats concrets. Par exemple, notre proposition en matière de mobilité des travailleurs est particulièrement intéressante pour le volet habitation du secteur de la construction, alors que les mesures présentées dans le Projet de loi actuel n'auront que très peu d'impact sur le secteur résidentiel. Nous serons très insistants sur cet aspect, tout au long des travaux. »

-Madwa-Nika Cadet, porte-parole de l'opposition officielle en matière de travail et députée de Bourassa-Sauvé

Cision Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/March2024/25/c2054.html

Dernière mise à jour : 25 mars 2024