Caribou des bois, écotype migrateur

Caribou des bois, écotype migrateur. © Joëlle Taillon

Nom français
Caribou des bois, écotype migrateur

Autre(s) nom(s) français
Caribou migrateur, caribou toundrique

Nom anglais
Woodland caribou, migratory ecotype

Autre(s) nom(s) anglais
Migratory caribou

Nom scientifique
Rangifer tarandus caribou

Description

Au Québec, le caribou des bois, écotype migrateur (caribou migrateur) vit dans le nord du Québec et est réparti entre deux populations : le troupeau de la rivière aux Feuilles à l’ouest et le troupeau de la rivière George, dont l’aire de répartition s’étend jusqu’au Labrador, à l’est. La population de la rivière George est susceptible d’être désignée comme menacée ou vulnérable.

Le caribou des bois est un animal à déclaration obligatoire. En tout temps, si vous trouvez un caribou blessé ou mort, contactez SOS Braconnage – Urgence faune sauvage au 1 800 4632191.

Identification

Taille

Longueur : 1,70 à 2,30 m. Hauteur à l’épaule : 1,04 à 1,40 m.

Poids

Le mâle pèse de 120 à 200 kg; la femelle pèse de 80 à 140 kg.

Coloration

Le caribou des bois possède un pelage présentant des nuances de blanc crème à brun foncé. Le patron de coloration varie grandement d’un animal à l’autre. Le pelage est habituellement plus foncé sur la face, les pattes et le dessus de la queue. Son cou, sa crinière, son ventre, sa croupe et le dessous de sa queue sont blanc crème.

À la naissance, le faon a un pelage ondulé brun pâle ou brun rougeâtre. Son ventre est crème tandis que son museau et le tour de ses yeux sont habituellement noirs.

Traits caractéristiques

Le caribou des bois a un corps trapu couvert d’un pelage composé de deux couches de poils : un duvet fin et crépu qui est recouvert de poils de garde creux qui emprisonnent l’air, agissant ainsi comme un isolant naturel.

Ses pattes possèdent des ergots proéminents placés très bas et des sabots très larges en forme de croissant. Les larges sabots servent, en hiver, de raquettes et de pelles pour creuser les cratères d’alimentation et, en été, de pagaies pour traverser les cours d’eau.

Son museau est très velu, large et tronqué. Le caribou est le seul cervidé dont le museau est complètement couvert de poils. Sa queue est courte.

Il est difficile, voire impossible, de distinguer visuellement les caribous de ces trois écotypes à partir des traits physiques ou morphologiques.

Croissance du panache

Contrairement aux autres cervidés, autant le caribou femelle que le caribou mâle possèdent des bois. Toutefois, ceux des mâles sont beaucoup plus imposants que ceux des femelles. De plus, seul le panache du mâle est caractérisé par des palettes frontales qui sont soit pointues soit palmées.

Le cycle de développement annuel des bois varie selon le sexe, le statut reproducteur et l’âge du caribou. Chez les mâles, la croissance des bois débute vers la mi-mars et s’accélère de mai à août. La peau qui recouvre le panache, appelée velours, permet l’apport du sang et des minéraux nécessaires à son développement. En septembre, le velours tombe laissant place aux bois durs qui sont utilisés pendant le rut pour défier les compétiteurs et accéder aux femelles. Les bois des mâles matures sont perdus après le rut, entre novembre et décembre. Ceux des jeunes mâles sont perdus entre janvier et mars. Chez les femelles, la croissance des bois débute vers la mijuillet. Les bois durs sont conservés pendant tout l’hiver et servent à la défense des cratères d’alimentation. Les bois des femelles tombent pendant, ou peu de temps après, la période de mise bas, soit entre la mimai et la fin de juin. Il faut noter qu’un certain nombre de femelles adultes ne développeront jamais de bois. Chez les faons, les bois apparaissent généralement au cours du premier été, peu après la naissance.

Distinction

Le caribou des bois est un cervidé de taille intermédiaire entre le cerf de Virginie et l’orignal. Le caribou est le seul cervidé chez qui tant le mâle que la femelle portent des bois.

Le caribou des bois peut parfois être confondu avec l’orignal. Apprenez comment distinguer ces deux espèces.

Espèces similaires

Caribou des bois, écotype forestier

Caribou des bois, écotype montagnard, population de la Gaspésie

Cerf de Virginie

Orignal

Empreintes

Répartition

Le caribou de l’écotype migrateur (toutes les sous-espèces confondues) a une répartition circumarctique. Autour du cercle polaire, 23 populations de caribous migrateurs (Amérique du Nord) et de rennes migrateurs (Eurasie) sont dénombrées.

En Amérique du Nord, on trouve le caribou de l’écotype migrateur de l’Alaska jusqu’au Labrador, sur l’île de Baffin ainsi que sur les îles Southampton et Coats, dans la baie d’Hudson.

Dans le nord du Québec et au Labrador, les populations de la rivière aux Feuilles et de la rivière George occupent une région de plus de 600 000 km2 située principalement au nord du 53e parallèle. Le troupeau de la rivière aux Feuilles utilise la partie ouest du nord du Québec, entre la baie d’Hudson et la baie d’Ungava. L’aire de répartition du troupeau de la rivière George est partagée entre le Québec, le Labrador et le Nunatsiavut, un territoire autonome géré par les Inuits de TerreNeuveetLabrador.

Présence au Québec

Origine

Indigène

Statut de résidence des populations

Cette espèce vit au Québec toute l’année.

État de la situation

Les populations de caribous migrateurs sont connues pour présenter de grandes fluctuations en abondance. Un déclin généralisé de ces populations dans leur aire de répartition circumpolaire est noté. Les populations du Québec n’échappent pas à cette tendance.

Depuis le début des années 1990, un déclin démographique prononcé et soutenu de la population de la rivière George est observé. En 1993, la population comptait plus de 823 000 caribous. Depuis, elle a décliné de plus de 99 % et était estimée à environ 7 200 caribous en 2022. La situation actuelle de la population de la rivière George est précaire de par sa très faible abondance et la grande variabilité annuelle de la survie des adultes et des faons. Il est actuellement impossible de statuer sur la perspective de son rétablissement.

La population de la rivière aux Feuilles a atteint un effectif maximal d’environ 650 000 caribous en 2001. Depuis, la population a diminué d’environ 70 % et était estimée à environ 168 000 en 2022. Depuis l’inventaire aérien de 2016, la survie des adultes et le recrutement (proportion de faons à l’automne) varient annuellement et la population est toujours considérée comme en déclin. Il importe de noter que la population de la rivière aux Feuilles soutient l’ensemble de la récolte effectuée par les nations cries, inuites et naskapies.  

Consultez la page La situation sur le caribou pour des informations supplémentaires.

Rangs de précarité

Le rang de précarité provincial (rang S) pour la population de la rivière George est S1S2. Le rang S de la population de la rivière aux Feuilles est S3?.

Suivi 

Les populations de caribous migrateurs du Québec sont suivies depuis le début des années 1970. Le suivi inclut, entre autres :  

  • des inventaires aériens;
  • des classifications d’automne;
  • la pose annuelle de colliers télémétriques sur des femelles et des mâles adultes;
  • le suivi de la condition physique et de l’état de santé des caribous.

Le suivi télémétrique permet de délimiter les aires annuelles et saisonnières utilisées par les deux populations. Il est ainsi possible de suivre les changements dans la localisation des aires de mise bas et des trajets migratoires des caribous. Le suivi télémétrique permet également d’évaluer la survie annuelle des femelles et des mâles des deux populations. De plus, ce suivi assure le repérage des individus durant la planification des inventaires aériens et des classifications d’automne. Ces deux activités permettent, respectivement, d’établir la taille de la population et le recrutement (proportion de faons présents) à l’automne.

Grâce à ces efforts, il est possible d’obtenir un portrait détaillé de la situation actuelle des populations de la rivière George et de la rivière aux Feuilles.

Habitat

Le caribou de l’écotype migrateur fréquente la toundra arctique, la taïga subarctique et la forêt boréale.

La superficie de l’aire de répartition couverte en une année est le résultat d’une stratégie d’évitement des prédateurs. Elle lui permet d’utiliser des habitats saisonniers très diversifiés. L’habitat du caribou migrateur se définit en trois aires saisonnières :

  • l’aire d’hivernage (ou hivernale);
  • l’aire de mise bas;
  • l’aire d’estivage (ou estivale).

Les corridors migratoires qui relient ces habitats sont aussi répertoriés et d’importance capitale pour cet écotype.

Le caribou migrateur est caractérisé par l’utilisation d’aires de mise bas traditionnelles où les femelles se regroupent pour donner naissance à leurs petits. Typiquement, le nom donné à une population provient de la localisation géographique de son aire de mise bas, qui est généralement le nom d’un cours d’eau ou d’un lac. L’utilisation d’une aire de mise bas située dans la toundra permet de distancer et d’éviter les populations de prédateurs, principalement de loups gris, établies dans la forêt boréale. Elle favorise aussi un accès rapide et hâtif aux ressources alimentaires des milieux nordiques.

Les aires de mise bas du caribou migrateur sont des habitats fauniques protégés légalement.

Alimentation

Le régime alimentaire du caribou migrateur varie selon les saisons.

En été, le caribou recherche des plantes riches en azote (protéines), en phosphore et en carbone (sucres). Il se nourrit de tiges et de racines de plantes herbacées, de petites branches (ramilles) de plusieurs arbres et arbustes (p. ex. saules, bouleaux, bleuets, etc.), de champignons et de fruits (p. ex. : le fauxmûrier). Pendant l’été, le caribou cherche les habitats offrant les ressources alimentaires les plus abondantes. Les femelles doivent produire un lait de qualité pour nourrir les faons, et les adultes doivent accumuler des réserves corporelles en prévision de l’hiver.

En hiver, son alimentation est composée principalement de lichens qui poussent sur le sol (terricoles) et sur les arbres (arboricoles). Les lichens sont une source d’énergie hautement digestible et riche en sucres, mais faible en protéines et en potassium. Pendant l’hiver, le caribou creuse et entretient des cratères d’alimentation lui donnant accès aux lichens. Les conditions d’enneigement, principalement la profondeur et la dureté de la neige, influencent l’énergie dépensée par le caribou pour se déplacer et entretenir les cratères d’alimentation. L’hiver, le caribou se nourrit également de prêles, de carex séchés et de ramilles de saules et de bouleaux.

Reproduction

La période de rut et d’accouplement du caribou migrateur a lieu à l’automne, de la mioctobre au début de novembre. Le rut se tient pendant la migration d’automne, alors que les caribous de tous les sexes et de toutes les classes d’âge forment de grands groupes et se déplacent vers l’aire d’hivernage située dans la forêt boréale.

La maturité sexuelle est atteinte entre 18 et 30 mois. Toutefois, seuls les mâles présentant un fort gabarit et des bois développés accèdent habituellement aux femelles.

Les mâles sont polygynes, c’est-à-dire qu’un même mâle peut s’accoupler avec plusieurs femelles au cours d’une même saison de reproduction. Afin de signaler son statut de reproducteur, le mâle brame, secoue les arbustes avec ses bois et affronte ses rivaux dans des rituels (entrecroisement des bois) généralement sans blessure. Pendant le rut, le mâle se nourrit peu. Il conserve son énergie pour les affrontements entre mâles et l’accouplement avec les femelles.

La gestation dure de 225 à 235 jours et la mise bas a généralement lieu au début de juin. Chez le caribou migrateur, les naissances sont fortement synchronisées de sorte que la majorité des faons naissent dans une période de 10 à 15 jours.

La plupart des femelles s’accouplent pour la première fois à l’âge de 2,5 ans et donnent naissance à un seul faon par année. La présence de jumeaux est très rare, voire anecdotique, chez le caribou. Les caribous migrateurs femelles se rassemblent sur une aire de mise bas spécifique à une population et située dans la toundra arctique (voir la section Habitat).

Quelques heures après sa naissance, le faon se dresse sur ses pattes et suit sa mère dans ses déplacements. Dès l’âge de trois jours, il parcourt des distances minimales semblables à celles des adultes, et il commence à brouter après deux semaines de vie. À un an, il accompagne parfois encore la femelle dans les aires de mise bas.

Le caribou a une longévité typique pour un cervidé, soit entre 8 et 15 ans.

Les caribous femelles sont moins productifs que les femelles du cerf de Virginie ou de l’orignal. Les femelles ne produisent qu’un seul faon par année, contrairement aux femelles des cerfs de Virginie et des orignaux, qui ont de un à trois faons par année. Les caribous femelles se reproduisent également à un âge plus tardif que les femelles des autres espèces de cervidés. Ces particularités font en sorte que le potentiel de croissance annuelle et la capacité de renouvellement d’une population de caribous sont plus faibles que ceux des autres espèces de cervidés vivant au Québec.

Comportement

Le caribou des bois, écotype migrateur, est nomade. Il vit en groupe (grégaire) de plusieurs centaines à quelques centaines de milliers d’individus. La composition des groupes, sexes et classes d’âge varie selon les saisons. Les grands rassemblements de caribous surviennent à trois principaux moments : avant la migration du printemps, immédiatement après la mise bas, lors de l’agrégation post-mise bas, et pendant la migration d’automne, lors du rut.

La migration est un élément clé de l’écologie du caribou migrateur. Celui-ci entreprend deux migrations saisonnières : la migration printanière et la migration d’automne. Au printemps, de la fin d’avril à la fin de mai, le caribou quitte son aire d’hivernage, située dans la forêt boréale, pour rejoindre son aire de mise bas, localisée dans la toundra.

Le caribou migrateur utilise son aire de mise bas en juin puis transite vers son aire d’estivage qu’il occupe en juillet et août. De la fin de l’été jusqu’à la fin de l’automne, le caribou quitte son aire d’estivage et migre vers le sud, en direction de ses quartiers d’hiver.

Au cours d’une année, les caribous migrateurs que l’on trouve au Québec et au Labrador peuvent parcourir des distances de 2 000 à 6 000 kilomètres. Les vastes déplacements saisonniers permettent d’utiliser des habitats saisonniers très diversifiés. La migration est une stratégie du caribou migrateur en réponse à la prédation et à la compétition dans un habitat changeant.

Maladies

Le caribou migrateur peut être affecté par différents parasites et maladies qui ont rarement des effets délétères majeurs sur les individus ou les populations. Actuellement, les infections par les pathogènes ne sont pas une menace pour les populations de caribous migrateurs au Québec. 

Le caribou peut être l’hôte de plusieurs parasites.

Menaces pour l’espèce

Les populations de caribous migrateurs sont influencées par des facteurs limitants et des menaces.

Un facteur limitant est un facteur écologique qui détermine et influence la répartition et les changements dans la taille de la population de caribous. Les principaux facteurs limitants du caribou migrateur sont :

  • la disponibilité et la qualité de l’habitat;
  • la prédation, principalement par le loup gris;
  • les maladies et les parasites.

Une menace est un facteur qui compromet les processus écologiques ou démographiques nécessaires à la présence du caribou dans un écosystème. Une menace nuit directement à la répartition et à la démographie d’une population de caribous. Les principales menaces à la pérennité des caribous migrateurs sont :

  • l’exploitation intensive (chasse et braconnage);
  • l’agrandissement de l’occupation du territoire et des activités industrielles, principalement les activités minières;
  • les changements climatiques.

Désignation et rétablissement

Le caribou des bois, écotype migrateur, possède les statuts suivants selon :

  • la Loi sur les espèces menacées ou vulnérables (Québec) : aucune; la population de la rivière George est susceptible d’être désignée comme menacée ou vulnérable;
  • la Loi sur les espèces en péril (Canada) : Consultez le Registre public des espèces en péril Cet hyperlien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre. pour en savoir plus.

Apprenez-en plus sur le processus de désignation des espèces fauniques au Québec.

En complément

Au Québec, le caribou migrateur, principalement celui de la population de la rivière aux Feuilles, est actuellement chassé par les nations cries, inuites et naskapies en vertu des conventions en milieu nordique Lire le contenu de la note numéro 1 . Ces nations ont adopté un arrêt volontaire de la récolte sur la population de caribous migrateurs de la rivière George, dont la situation est préoccupante. Au Québec, la chasse sportive au caribou migrateur est fermée, pour une durée indéterminée, depuis 2012 pour la population de la rivière George et depuis 2018 pour la population de la rivière aux Feuilles. De plus, la province de Terre-Neuve-et-Labrador a adopté, en 2013, un moratoire sur tous les types de chasse ciblant la population de la rivière George.

Travaux de recherche et d’acquisition de connaissances

Depuis 2009, le gouvernement du Québec collabore et participe activement au groupe de recherche Caribou Ungava Cet hyperlien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre. pour parfaire les connaissances sur le caribou migrateur.

De son côté, le Projet Caribou Genomics Cet hyperlien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre. travaille au développement d’outils pour l’analyse du génome du caribou.

BRADLEY, R. D., L. K. AMMERMAN, R. J. BAKER, L. C. BRADLEY, J. A. COOK, R. C. DOWLER, C. JONES, D. J. SCHMIDLY, F. B. STANGL JR., R. A. VAN DEN BUSSCHE et B. WÜRSIG (2014). “Revised Checklist of North American Mammals North of Mexico”, Museum of Texas Tech University Occasional Papers, 327: 27 p. 

BRODEUR, V., S. RIVARD, C. DUSSAULT, L. HARVEY et J. TAILLON (2017). Utilisation de la télémétrie satellitaire pour estimer l’abondance d’une population de caribous migrateurs. Ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs, Québec, 25 p.

BRODEUR, V., J. PISAPIO, S. MCCARTHY, S. RIVARD et J. TAILLON (2022). Inventaire aérien du troupeau de caribous migrateurs de la rivière George en juillet 2020, ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs, Québec, et Department of Fisheries, Forestry and Agriculture, Newfoundland and Labrador, 22 p.

CARMA (CircumArctic Rangifer Monitoring and Assessment Network) (2013). Disponible à https://carma.caff.is/ Cet hyperlien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre..

INTEGRATED TAXONOMIC INFORMATION SYSTEM (ITIS) (2018). Integrated Taxonomic Information System [En ligne] [https://www.itis.gov/ Cet hyperlien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.].

NATURESERVE (2020). “An Online Encyclopedia of Life”, sur le site de NatureServe Explorer [En ligne] [https://explorer.natureserve.org/ Cet hyperlien s'ouvrira dans une nouvelle fenêtre.].

PRESCOTT, J., J. FERRON et J. TAILLON (2013). Sur la piste de nos cervidés, Éditions Orinha Média, La Macaza, Québec, 262 p.

PRESCOTT, J., et P. RICHARD (2013). Mammifères du Québec et des Maritimes, Éditions Michel Quintin, Waterloo, Québec, 3e éd., 480 p.

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TAILLON, J., V. BRODEUR et S. RIVARD (2016). État de la situation biologique du caribou migrateur, troupeau de la rivière aux Feuilles, ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs, Québec, 69 p.

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Dernière mise à jour : 29 avril 2024

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